Pour bien improviser


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Il faut un point de départ, une mise en situation donnée par l’animateur.

Chaque participant choisit qui il veut être et comment il va décliner le personnage qu’il incarne. Un maximum de liberté est octroyée au premier qui amorce le dialogue.

Ensuite, en puisant dans leur imaginaire, les autres personnages trouvent quelque chose à dire et à faire (gestuelle) qui soit en cohérence avec ce qui a déjà été amené afin de bâtir une histoire qui tienne la route.

J’ai repris, dans mes ateliers, en guise de points de repère, la fameuse «  triple unité », chère au théâtre classique, à savoir, l’unité de lieu, de temps et d’action. Ceci pour éviter une création brouillonne dans laquelle, par exemple, des acteurs joueraient leur « propre trip » sans tenir compte de leur collègues de scène, ou bien, une création absurde qui n’aurait ni queue ni tête.

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